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Nom Botia striata

rebaptisé récemment : Yasuhikotakia

Famille Cobitides

Sous-famille : Botiinae

Genre : Botia

Synonyme : Botia zèbre, Botia tigre, Botia rayé

Température. 22-28° C.

Origine : Inde, Bengladesh et Pakistan

 

Parmi les Cobitidés, les Botia sont des poissons sympathiques et très appréciés des aquariophiles. La sous-famille des Botiinés comprend deux genres :

  • Les Botia qui présentent une épine sous oculaire bifide
  • Les Leptobotia qui présentent une épine sous oculaire simple et dont la bouche arbore de six barbillons.

Le genre Botia lui est subdivisé en quatre sous-genres :

1) Les Botia au sens strict, originaires d'Inde, du Bengladesh et du Pakistan qui possède 8 barbillons et dont font partie les striata, loachata, dario, geto.

2) Les Botia sous genre hymnophysa avec 6 barbillons et divisés en 3 groupes géographiques :

- Leshymnophysa beauforti, berdmorei, hélodes et hymnophysa provenant du Sud-Est asiatique.

- Les modesta (éos, lecontei, métallica, modesta, horae, sidthimunki) qui se trouvent en Thaïlande principalement.

- Les sini-botia (mantchourica et ex-leptobotia) provenant de Chine, de Sibérie et de Mandchourie.

3) Le sous-genre macracantha provenant d'Indonésie, plus particulièrement de Bornéo et Sumatra et qui porte 8 barbillons.

4) Le sous-genre sini-botia ou superciliaris provenant de Chine et muni de 6 barbillons.

Les poissons du genre Leptobotia quant à eux possèdent 6 barbillons et une épine simple, ils sont originaires de Chine et du Japon.

 

 

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Il arrive que l'on confonde les Botia striata avec les B. hymenophysa et parfois avec les B. helodes.

Voir aussi la page consacrée au biotope sud-asiatique

Les Cobitidés, qui sont des proches parents de la famille des Cyprinidae, sont présents en Europe et en Asie ; Ils possèdent des barbillons qu'ils emploient pour détecter la nourriture au sol. Leur corps est soit dépourvu d'écaille, soit recouvert de minuscules écailles insérées profondément dans la peau. Ils présentent une épine sous l'œil qui a un rôle défensif. Les Loches, comme on les surnomme familièrement, sont des poissons dont l'activité démarre au crépuscule, qui vivent en groupe sur le fond du bac et à qui il faut fournir bon nombre de cachettes.

On connaît actuellement une trentaine d'espèces de Botia, dont une douzaine de variétés sont régulièrement importées pour peupler nos aquariums. La plupart des espèces de Botia restent petites. Le Botia modesta atteint une vingtaine de centimètres, les Botia macracantha sont les plus gros représentants de leur famille, mais les autres Botia comme les B.striata, B.lohachata, B.rostrata ou B.sidthimunki ne mesurent qu'une dizaine de centimètres.

Botia striata

À l'état sauvage, ils vivent dans les rivières chaudes, aux eaux peu profondes. En milieu naturel, on les rencontre surtout dans les cours d'eau où le fond est rocheux, composé d'éboulis pierreux, ainsi que de branches et de racines sur lesquelles ils trouvent de nombreuses algues, des petits insectes et des larves, dont ils font leur nourriture.Elles sont essentiellement originaires de la rivière Krishna dans le sud de l'Inde. Les poissons sauvages mesurent 10 à 12 cm mais en aqaurium ils ne dépassent pas 6 à 8 cm

 

Les Botia sont des poissons qui vivent sur le fond du bac. Leurs yeux ronds indiquent qu'ils vivent en eau calme alors que les espèces qui ont des yeux plus petits sont généralement pêchées dans des rivières qui ont un courant plus rapide.

Leurs yeux ne sont pas recouverts de membrane transparente, car contrairement à d'autres espèces vivant sur le sol, ils ne s'ensablent pas complètement.

Le corps est fusiforme, fortement comprimé latéralement, avec le dos légèrement arqué et le ventre plat. La forme générale est allongée et la tête est grande, avec une bouche ventrale protractile (qui peut se projeter en avant pour saisir des proies) portant les lèvres charnues et épaisses et dotée de 4 paires de barbillons. La lèvre supérieure est en forme de rostre.

Ces excroissances très sensibles permettent aux poissons fouisseurs de repérer des proies enfouies dans le sable. Il faut donc être sûr que le sol utilisé dans l'aquarium qui accueille des Botia n'est pas composé de quartz tranchant qui les blesserait !

 Il aaussi une courte épine osseuse sous les yeux, arme redoutable dont il faut se méfier quand on tente de saisir un Botia. Cette épine érectile est de même diamètre que l'œil. Il peut la dresser et la verrouiller et rester coincé dans une épuisette. Attention donc en le manipulant et en le transportant, il est plus sage de doubler les sacs de transport pour éviter qu'ils ne soient déchirés !

 

La bouche qui porte des barbillons est orientée vers le sol. Sa robe présente des rayures brunâtres assez sombres sur un fond beige. Les flancs sont jaunes, presque dorés selon la lumière mais tirant parfois un peu sur le vert. On compte généralement 11 doubles bandes transversales qui sont légèrement obliques et qui marquent les flancs. Les nageoires sont transparentes, teintées de jaune et portant des taches sombres qui font comme des lignes brisées ; la dorsale et la caudale présentent des minces bandes plus sombres. Quand les poissons sont âgés les striures sont plus sombres et plus larges que chez les individus plus jeunes.

 

Les Botia striata sont des poissons grégaires et paisibles qui apprécient la compagnie de leurs semblables mais qui peuvent aussi vivre seuls. Si l'on n'a acheté qu'un individu, on le voit très peu, il reste caché pendant la plus grande partie de la journée sous un tronc, dans un trou d'une racine ou d'une pierre. Il s'enfouit parfois dans le sable du sol, mais ne disparaît pas complètement. Il apprécie aussi de se cacher sous les grandes feuilles basses des plantes comme les Echinodorus. Il est important de leur fournir de nombreuses cachettes dans l'aquarium, des objets creux, noix de coco, pots de fleurs renversés, tuyaux à demi enterrés dans le sol, des souches ou des cavernes, pour contribuer à leur donner confiance ce qui permet de les voir plus souvent. Ils ne sont pas à proprement parler territoriaux, mais défendent leur abri et la zone qui l'entoure.

On les associe donc à d'autres poissons paisibles, qui contribuent aussi à les rassurer par effet de groupe. Plus ils sont nombreux et plus ils sont visibles et actifs pendant la journée. Un Botia tout seul risque de se laisser dépérir en passant toute la journée caché. Quand ils sont en petit groupe, on les voit souvent se pourchasser à travers tout le bac. Ces poursuites ne sont pas agressives, les poissons ne se font pas de mal. Mais leurs mouvements rapides peuvent perturber des poissons plus calmes comme les Gouramis. On assiste aussi à des bagarres, les Botia s'attrapant par la bouche, mais là non plus il n'y a généralement pas de blessures, il s'agit souvent de simulacres de combats plutôt que des vraies batailles. Je n'ai jamais remarqué de hiérarchie entre les individus ni de prédominance de l'un ou l'autre lors des repas. Tous se regroupent pour manger des comprimés de fond, en se bousculant mais sans s'agresser.

Leurs attitudes sont parfois surprenantes : nageurs maladroits, ils font des bonds de plantes en plantes et se reposent appuyés sur leurs nageoires pectorales et caudale, posés sur une pierre ou une feuille du décor ou carrément couchés sur le flanc, comme morts !

Cette position alarme les nouveaux propriétaires de Botia avant qu'ils ne réalisent que ça n'a rien d'anormal et que les poissons se remettent en mouvement dès qu'on approche de l'aquarium. On les voit aussi très souvent entassés les uns sur les autres ou la tête en bas. 

Nourriture.

Ils sont omnivores et très faciles à nourrir. Dans la nature, leur nourriture principale est constituée de vers de vase, de petites larves, d'escargots, donc, en captivité, ils ne consomment pas tout de suite la nourriture artificielle. Il faut donner une priorité à la distribution de vivant et veiller à ce que leur régime alimentaire soit le plus varié possible. Ils affichent une prédilection marquée pour les vers de vase et les larves de moustiques, mais leur bouche étant relativement petite il faut parfois couper en morceau les larves de moustiques rouges. Ils n'apprécient pas vraiment les paillettes ni les flocons même si on peut les y habituer, les granulés qui coulent sur le fond ont plus de succès. Les apports végétaux, sous forme de concombre ou de courgette, d'une feuille de laitue ou d'épinards sont vivement appréciés.

Les Botia striata sont inféodés au substrat ce qui signifie qu'ils vivent au raz du sol, sur le fond et se déplacent peu dans la partie haute de l'aquarium, ce sont des « poissons de fond » qui trouvent leur nourriture au sol et ne montent pas manger en surface. Il faut donc s'assurer qu'une quantité suffisante d'aliments leur parvient, et que les poissons plus vifs de la surface ne mangent pas tout. On doit leur distribuer des aliments qui coulent et pas seulement des paillettes qui flottent à la surface. Ils mangent volontiers de la nourriture vivante ou congelée, des larves de moustique, des tubifex, des vers rouges, des artémias ainsi que des matières végétales.

 

Ils débarrasseront aussi l'aquarium de tous ses escargots, y compris les planorbes et les mélanoïdes, seuls les gros Ampullaires sont à l'abri de leur voracité, Ils détruisent aussi les éventuelles larves d'insectes qui peuvent se cacher dans le sable ou les plantes et vont s'en prendre à tous les invertébrés du bac comme les crevettes Atyas ou Caridinas. ( Les Botia ne doivent pas être introduits dans un aquarium dans le seul but de limiter la population des escargots. Les escargots ne sont pas un vrai problème, leur nombre augmente toujours lorsqu'ils trouvent suffisamment à manger dans l'aquarium. Si la distribution de nourriture est excessive la population d'escargot explose rapidement. On limite alors le surpeuplement avec des méthodes douces : la diminution de la quantité d'aliments distribués quotidiennement, l'immersion d'une feuille de salade pour les piéger, les siphonnages plus fréquents du fond du bac pour en retirer les déchets qui alimentent les escargots.)

 

Ils aiment manger de nombreux petits repas répartis tout au long de la journée. L'idéal serait de pouvoir leur distribuer 5 ou 6 fois par jour des quantités peu importantes et comme ils sont très actifs au crépuscule, on peut aussi prévoir un repas après l'extinction de l'éclairage du bac.

 

Ils explorent volontiers les cavités et caches entre les pierres ou les plantes, ils se faufilent entre les racines décorant le bac ou se cachent dans leurs interstices. Les Botia préfèrent occuper des refuges étroits, sombres et profonds, difficiles à nettoyer, mais dans lesquels ils se sentent en sécurité.

Il faut prévoir un nombre suffisant de cachettes dans le bac pour que chaque individu puisse se retirer pendant la nuit. Attention toutefois de ne pas construire des refuges trop exigus où ils risquent de rester coincés ou de se blesser. Il est bon de choisir un sable doux et fin dans lequel ils puissent fouiller et de ne pas mettre du gravier ou des petits galets. De nombreuses cachettes, noix de coco, racines et branchages entremêlés, éboulis, poteries diverses sont nécessaires à leur confort ! Ils apprécient particulièrement les tubes en PCV à demi enterrés et viennent volontiers s'y cacher.

La hauteur d'eau du bac importe peu, il vaut mieux leur offrir un bac large et profond plutôt que haut. La surface au sol est donc à privilégier.

 

 

Les Botia apprécient une eau propre, sans composés organiques, sans ammoniaque, nitrate, ou nitrite. Les changements d'eau sont essentiels pour les maintenir en bonne santé. Renouveler environ 20 % du volume chaque semaine est un bon rythme car ils apprécient l'eau neuve. Les Botia sont timides et sont facilement effrayés et ils n'aiment pas les changements brusques, ni l'introduction de nouveaux poissons. Les variations brutales des paramètres de l'eau ou de leur régime alimentaire les perturbent et les dérangent. Ils peuvent alors aller se cacher et rester invisibles plusieurs jours, n'émergeant que pour manger rapidement et retournant se planquer immédiatement après.

 

Dès que leur taille est de 4 à 5 centimètres, les Botia sont extrêmement robustes et s'adaptent facilement à plusieurs types d'aquariums, mais ils préfèrent une eau légèrement acide et dont la dureté reste modérée. Les jeunes poissons importés sont souvent parasités par de l'Ichtyophthrius multifidis, qu'on doit soigner rapidement pour ne pas contaminer les autres habitants du bac. Il suffit généralement d'augmenter la température de 2 ou 3 degrés pour que les poissons guérissent tous seuls. S'ils vivent dans un bac dont les paramètres leur conviennent bien leur résistance est grande, mais ils sont fragilisés lorsque les conditions du milieu se dégradent, lorsqu'on néglige l'entretien de bac et les changements d'eau ou lorsqu'on surpeuple l'aquarium.

Attention, ils sont aussi très sensibles aux médicaments ! En cas de traitement à faire en bac d'ensemble, il faut utiliser la moitié des doses prescrites car leur peau absorbe facilement tous les produits chimiques. Il est plus sage de traiter les poissons malades dans un bac spécifique pour ne pas empoisonner les Botia de l'aquarium communautaire.

 

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Des rayures ternes indiquent généralement une mauvaise santé, mais peuvent aussi simplement varier sous l'effet du stress ou de l'émotion.

Comme on ne peut pas toucher les poissons avant de les acheter, il est nécessaire de bien les observer dans l'aquarium du magasin. Plusieurs points sont importants :

Il faut vérifier que les écailles sont intactes qu'il n'y a pas de lésions apparentes, les couleurs doivent être vives et brillantes, les nageoires doivent être intactes (les maladies bactériennes commencent toujours par infecter les nageoires), les flancs ne doivent pas être creux. L'attitude générale du poisson donne aussi des renseignements précieux.

 

Après l'achat, les poissons sont transportés dans un sac en plastique avec un peu d'eau, parfois gonflé à l'oxygène. À l'arrivé à la maison, il faut éviter de vider directement le sachet et les poissons dans leur nouvel aquarium. Un temps d'adaptation est nécessaire. Il convient de laisser le sac flotter une dizaine de minutes à la surface de l'eau pour que les températures s'équilibrent, puis de l'ouvrir et d'y verser à plusieurs reprises un peu d'eau prise dans l'aquarium et d'attendre que les poissons soient habitués à ces nouveaux paramètres. Ces manipulations peuvent prendre plus d'une demi-heure et sont gage d'une bonne acclimatation des poissons à leur nouvel environnement. On peut ensuite les faire sortir en évitant de verser l'eau contenue dans le sac afin de ne pas transvaser inopinément des escargots ou des parasites indésirables.

La filtration doit être assez importante avec un débit de deux à trois fois le volume du bac par heure, assortie d'un bon brassage en surface pour oxygéner l'eau, mais sans créer un courant trop fort. On peut installer le tuyau de rejet du filtre juste sous la surface pour générer des remous qui favorisent les échanges gazeux, tout en évitant le bruit de cascade de l'eau qui retombe ! Si le brassage est trop fort, le Co2 dissous dans l'eau et nécessaire pour la bonne santé des plantes, va s'échapper trop rapidement. Dans un bac de grande longueur, il est possible de placer une pompe à l'opposé du filtre pour éviter les zones d'eau stagnante.

L'eau de conduite convient bien pour autant que le chlore soit éliminé par un bon brassage et que la dureté ne dépasse pas 15-18 TH. Le pH à obtenir se situe au environ de 6,5-7pH. Les Botia striata apprécient un bac propre, aéré et riche en oxygène, il faut donc faire des changements d'eau assez importants, de 10 % à 20% chaque semaine. Le renouvellement régulier d'une partie de l'eau reste le meilleur moyen de prévenir les problèmes d'hygiène et la dégradation du milieu. Il faut mesurer régulièrement les nitrates (et pas seulement surveiller le taux de nitrites) et veiller au bon équilibre de l'aquarium.

 

La température idéale se situe entre 24 et 26 degrés. Le bac peut être décoré de branches, de roches et de pierres non calcaires, formant des éboulis et présentant de nombreuses grottes ainsi que d'une végétation dense, pour que les Botia puissent y trouver de multiples cachettes, dans lesquelles ils se tiennent dans d'amusantes positions, la tête en haut ou en bas. Ils occupent la partie inférieure et le fond du bac, nageant parfois en pleine eau.

Le sable du fond doit être peu compact, il faut éviter d'employer de la quartzite car les bords coupants risquent de blesser leurs barbillons lorsqu'ils fouillent le sol.

 

Pour aménager l'aquarium, on peut utiliser des racines de Mopani, préalablement bouillies pour éliminer les micro-organismes et une partie des tanins, posées sur un fond sablonneux et entourées de plantes hautes. Des pierres non calcaires forment des cachettes, le premier plan étant délimité par des plantes. Crinum thaianum, Hygrophila difformis, Echinodorus bleheri, Cryptocoryne wendtii, Rotala rotundifolia, Echinodorus latifoliés, Hygrophila siamensis, Vallisneria, Ceratophyllum demersum. On peut très bien installer des B.striata dans un bac densément planté, ils n'abîmeront et ne déterreront pas les plantes

 

Si les poissons sont installés dans un bac sain, bien filtré, oxygéné et richement planté, où les changements d'eau sont réguliers et s'ils sont peu nombreux et bien nourris ils résisteront mieux aux maladies que s'ils vivent dans un bac surpeuplé et peu nettoyé. La plupart des maladies apparaissent quand les conditions de vie se détériorent et quand l'entretien du bac se relâche !

Mais comme il peut aussi arriver qu'on introduise un nouveau poisson porteur de germes ou de virus, on limite ces risques et installant les nouveaux venus dans un bac de quarantaine et en les observant soigneusement pendant plusieurs jours.

 

Il n'est pas reproduit en captivité comme bien d'autres Botia d'ailleurs... On ne maîtrise pas encore tous les paramètres qui permettraient d'obtenir des reproductions en captivité, la composition chimique de l'eau, l'intensité de l'éclairage ou la température…La plupart des Botia sont d'origine sauvage. L'élevage commence à se développer en Thaïlande avec des stimulations hormonales pour les inciter à frayer, dans des grands bassins creusés à côté des rivières.

 

 

 

Population.

Les rivières et ruisseaux asiatiques sont peuplés par grand nombre de poissons d'aquarium bien connus. Un aquarium de type "asiatique " de 250 litres par exemple, peut abriter une population selon ce modèle :

Un groupe de 12 Rasbora hétéromorpha

6-8 Botia striata.

Un couple de Gouramis ou de Colisa lalia

6 Barbus à tête pourpre (Barbus nigrofasciatus).

6 Barbus rosés (Barbus conchonius).

6 Barbus de Sumatra (Barbus tetrazona).ou Barbus pentazona, plus calmes...

 

 

Cet article a paru en mars 2004 dans le numéro 210 d'Aquarium Magazine

©Véronique Ivanov